30/12/2013

LE BILAN 2013

Les Tops / Les Flops d'une année pas glop ?


C'est la fin de l'année et, comme chaque site de cinéma qui se respecte, le DWARF partage ses coups de cœur et ses déceptions. Toute l'équipe est réunie, y compris nos futurs contributeurs. Et chacun y va de son commentaire.
Dans l'ensemble, le bilan est contrasté, voir contradictoire entre chaque membre de la rédaction. C'est toute la magie de la subjectivité.   


25/12/2013

UN MEME, UN JOUR

JOYEUX NOËL A TOUS !


Surtout à Abdellatif Kechiche, qui prépare déjà la suite du film français de l'année :

21/12/2013

COMING SOON : GODZILLA (Gareth Edwards - 2014)

Suite au commentaire bienveillant de votre serviteur à propos de La Belle et la Bête, Roland cible à son tour un trailer et un autre monstre célébrissime.  Et pas le moindre. Voici la bête du jour :


18/12/2013

UN MEME, UN JOUR


COMING SOON : LA BELLE ET LA BÊTE (Christophe Gans - 2014)

ROSE BONBON

Dans cette nouvelle chronique, nous critiquons un film via sa bande-annonce. Il n'est certes pas très honnête de juger une œuvre avant de l'avoir vu. Mais qui prétend que nous sommes honnêtes ? Voici la cible du jour :


11/12/2013

ANALYSE / CRITIQUE : HUNGER GAMES : L'EMBRASEMENT (The Hunger Games : Catching Fire - Francis Lawrence - 2013)

JEUX DE MIROIRS


Rappel des faits. L'histoire de Hunger Games voit une population, divisée en douze districts, contrainte par le Capitole -le gouvernement tout puissant- d'assister à des Jeux où s'affrontent des candidats de chaque district. Ces Jeux sont retransmis en direct à la télévision. A l'aube de leur victoire, Katniss et Peeta, devenus héros aux yeux de tous, sont en pleine « tournée » à leur gloire, quand le gouvernement décide de faire se confronter à nouveau tous les précédents gagnants dans des Jeux de l'Expiation.


Blockbuster teenage, marketing ado, young adults movie... La stratégie possiblement réfléchie en amont pour vendre ce deuxième volet de Hunger Games se fait ruse quand, dans ce qui est montré, les choses s'inversent et quand la cible se retrouve au cœur de l'écran.

02/12/2013

CRITIQUE : GETAWAY (Courtney Solomon - 2013)

GO AWAY !

Plus beauf que moi tu meurs


J'aurais pu faire une critique de Prisoners, Gravity, La Danza de la Realidad, Inside Llewyn Davis ou encore Thor the Dark World, mais non je préfère patauger dans la fange :


Faut dire que j'ai rien vu venir... je vous jure !
Voulant me démarquer de mes chers confrères du DWARF, j'ai décidé de fouiller dans les sorties DTV. Malheur à moi ou mauvais karma, je suis tombé sur un vrai tas de merde. Getaway* est sorti le 30 août aux États-Unis, uniquement en DVD en France. Pour une fois, je donne raison aux distributeurs français de ne pas l'avoir sorti en salle. L'histoire tient sur un timbre poste : « héros avec sidekick doit sauver femme » Duh !

26/11/2013

DEUX EN UN

Vois-tu Tuco, le monde se divise en deux catégories. Ceux qui attendent Rambo 1 & 3 ce soir sur D8 et ceux qui préfèrent Bambi. 

Nous, on aime les deux : 


Source : The Zooom


23/11/2013

18/11/2013

CINEMA TOTAL : BLADE RUNNER

LE TRANSMEDIA DU XXème




Quand on souhaite parler de Blade Runner se pose la question de la pertinence de notre propos. Sorti en 1982, puis en 1992, puis en 2007, ce classique de la SF a été décortiqué, disséqué, analysé, encensé, critiqué, porté aux nues et parfois regretté par ici, par là et surtout un peu partout. C’est pourquoi il ne s’agit pas là d’établir une critique d’un film sur lequel tout a probablement déjà été dit, exercice à la vanité rédhibitoire. Non, à l’heure d’internet et des balbutiements babelesques de ce que l’on nomme transmedia, il nous apparaît plus intéressant de prendre de la hauteur pour s’offrir une vue d’ensemble sur une œuvre bien plus vaste qu’il n’y paraît.

13/11/2013

ANALYSE / CRITIQUE : TAKE SHELTER (Jeff Nichols - 2011)

RÉAPPRENDRE A SORTIR

        Take Shelter emprunte la poésie des plus belles idées d'un cinéma intelligent et métaphorique.

Auprès de sa femme Samantha (Jessica Chastain) et de sa fille sourde muette Hannah (Tova Stewart)
Curtis LaForche (Michael Shannon) trouve refuge
     Tout d'abord, avec cette idée de figurer le confiné par le spectaculaire. Les plus beaux films de Shyamalan ont trouvé leur pendant, en particulier Signes. Dans ce film, la famille de Merrill (Mel Gibson) est mise à mal par des éléments extérieurs qui agressent leurs champs, puis leur maison. En miroir, dans Take Shelter, la famille de Curtis est confrontée à une tempête.

10/11/2013

CRITIQUE : SNOWPIERCER - LE TRANSPERCENEIGE (Bong Joon-ho - 2013)

ET ROULE LE NAVIRE

W. IS RULING


Parcourant la blanche immensité
D'un Hiver éternel et glacé
D'un bout à l'autre de la planète
Roule un train qui jamais ne s'arrête


04/11/2013

ANALYSE / CRITIQUE : MUD (Jeff Nichols - 2013)

IL FAUT UN MOTEUR !

Matthew MacConaughey dans le dernier film de Jeff Nichols

« On trouve de tout dans la rivière. Des trucs chers parfois. Il faut savoir quoi laisser filer. » 


    Cette phrase, prononcée par le personnage joué par Michael Shannon, l'homme-tempête fantastique de Take Shelter, précédent film du réalisateur, nous donne le bon chemin de lecture du film. De chemin(s) il est question dans Mud, accompagné du sous-titre « sur les rives du Mississippi » pour la version française, un sous-titre pour une fois bien vu car il relie l'homme et le lieu. Et en effet, le lieu fait l'homme dans ce film, et l'homme fait du lieu son chemin, son identité.
      Le Mississippi donc,un pan de fleuve qui impose sa beauté évidente avant que le titre du film s'affiche.
    Ellis et Neck vont faire la connaissance de Mud, réfugié sur une île. Ce dernier revient sur les lieux de son enfance.


01/11/2013

DES RAISONS DE (PARFOIS) PRÉFÉRER LA VF

Une bonne VF vaut mieux qu'une mauvaise gégène


     La version française d'un film est à sa version originale ce qu'est le sucre au café, le jus de fruit à la blanquette de veau, la douche à la fellation ou encore les leggings au respect de la dignité humaine : une impardonnable faute de goût qui dénature tout le sel de sa forme originelle. Qui peut prétendre juger du contenu d'un dialogue ou des qualités d'un comédien lorsque sa prestation est biaisée – quelques fois magnifiée – par un tiers, un prisme par le truchement duquel la réalité ne saurait que s'en trouver altérée ?
    Chère lectrice, cher lecteur, je sais tout cela et même, je le défends, je le proclame haut et fort, poursuivant de mon ire implacable ces hérétiques onanistes, païens masturbateurs, bougre d'infidèles et blasphémateurs sodomites, tailladant avec des lames de rasoir rouillées la plante de leurs pieds renégats que j'asperge ensuite abondamment de jus de citron pour leur passer l'envie de recommencer avant longtemps.
      Oui mais voilà, ne nous voilons pas la face, au risque de n'y plus rien voir, mais également afin de savoir raison garder : les originales versions parfois procurent de pervers plaisirs qu'ils nous seraient dommage de bouder. Dressons ici une brève – et certes non-exhaustive – listes des raisons recevables dans les cas où, exceptionnellement, le recours à la VF ne sera pas puni de mort.

30/10/2013

CRITIQUE : DRAGON GATE, LA LEGENDE DES SABRES VOLANTS (The Flying Swords of Dragon Gate - Tsui Hark - 2011)

SUIS HARK !


Le retour de la vengeance de l'Auberge du Dragon en 3D... et en DTV


Ma première vraie bafouille en tant que DWARF. C'est l'occasion de vous causer d'un grand réalisateur que j'adore et de me poser d'office un défi. Faisant fie du risque encouru, je prends le taureau par les cornes et me lance, bien candide, dans la présentation hautement subjective du dernier film du génial Tsui Hark (pléonasme ?)

Jet Li fait son come-back chez Tsui Hark

UN MEME, UN JOUR


28/10/2013

UN MEME, UN JOUR



CRITIQUE : C'EST LA FIN (This is the End - Evan Goldberg & Seth Rogen - 2013)

APOOCALYPSE NOW

Quelque part à Hollywood...


Seth Rogen : - Dites les potes, ça vous brancherait de participer à mon prochain film ? On serait tous là en train de glander, de fumer de l'herbe et de faire des conneries, le tout durant la fin du monde ?

Frat Pack (en tout cas une partie) : - Carrément !

     J’écris peut-être des bêtises mais je ne pense pas être très loin de la réalité. Première réalisation du tandem Seth Rogen et Evan Goldberg, doté d'un casting à faire bander n'importe quel fan de comédie US, This is the End correspond parfaitement aux attentes : un humour omniprésent, des situations et dialogues tirés aux couteaux, ainsi que des blagues de vomi/pipi/caca... Tout est là.

27/10/2013

DWARFISME





Thibaut Mikos

UN MEME, UN JOUR

Cher Journal, 

Hier soir, j'ai enfin vu Gravity d'Alfonso Cuaron. 
Ce matin, j'ai conseillé cette expérience extraordinaire à mon ami Red_Fox. Il m'a répondu :




Sur ce, il a ajouté : "Et c'est aussi valable pour La Vie d'Adèle, raclure !"

Avec des amis pareils, pas besoin d'ennemis.


25/10/2013

CRITIQUE : NO PAIN NO GAIN (Pain and Gain - Michael Bay - 2013)

SANS PEINE ET SANS GAINE


Bon. Je vais être franc dès le départ : Michael Bay fait partie de ces réalisateurs que je déteste (bien placé entre Brett Ratner et Renny Harlin pour ne citer qu'eux). Un mec capable de vous balancer dix explosions en moins de temps qu'il n'en faut pour pisser un coup. Génie, despote, connard d'opportuniste (producteur de remake tel que Freddy, Massacre à la Tronçonneuse ou encore l'immonde Vendredi 13), il est en fait la continuité de la vision du Nouvel Hollywood lancé par Spielberg et tonton Georgie (il a d'ailleurs bossé pour Lucasfilm), à savoir produire des films à la rentabilité facile afin de se lancer dans la réalisation d’œuvres beaucoup plus personnelles. Une chose est sûre : No Pain No Gain est son film le plus personnel. Oui oui ! Vous avez bien entendu !

CRITIQUE : MACHETE KILLS (Robert Rodriguez - 2013)

MACHETE GRILLS


Une recette éprouvée pour un goût de déjà vu


          Cul : nom masculin issu du latin culus, peut-être apparenté à cunnus, le con (au sens le plus originel du terme, cela va de soi). Désigne le fondement de l’anatomie humaine et de sa pensée de manière plus ou moins heureuse, polie ou poétique. Nous retrouvons le terme dans des expressions telles que "cul par-dessus tête", "elle avait un de ces culs mon gars" ou encore "ça troue l'cul".


24/10/2013

ET UNE BOUTEILLE A LA MER !

Une de plus...


      Et j'ajoute ces quelques lignes (et bien d'autres par la suite) dans l'univers impitoyable, ouvert et tentaculaire qu'est Internet. Contraint et forcé que je suis.
      
      D'abord contraint par ma passion pour cet art industriel sans doute surestimé qu'est le cinéma.