29/08/2015

HOLLYWOOD BANDE MOU... ou comment j'ai descendu les sept niveaux des enfers cinématographiques

HOLLYWOOD BANDE MOU...

... ou comment j'ai descendu les sept niveaux des enfers cinématographiques


       Ô toi, très cher lectrice\teur, toi qui entres dans cet antre aux confins septentrionaux des internets, toi, simple humain, spectateur avisé ou spectateur à viser, toi qui ouvres ton portefeuille bien souvent pour assister prestement à des images qui bougent avec du son dans des endroits sombres, et en Technicolor en sus, ô toi, abandonne ici tout espoir.
       Car, tu n'auras ici que torture, tourments de l'âme et circonvolutions circonspectes de ma psyché en déroute... et quelques mots orduriers aussi.

      Hier, par une nuit noire et humide de sueurs, mon âme vagabonda dangereusement auprès du grand poète Virgile, qui me servait de guide.

Moi et mon guide (en rouge)

06/08/2015

ANALYSE/CRITIQUE : LE PETIT PRINCE (Mark Osborne - 2015)

COUP DE POUCE POUR LES HISTOIRES


  Si on pense de manière évidente que les dessins animés sont avant tout pour les enfants, rares sont ceux qui mettent aussi fortement l'enfance au cœur de leur histoire, et de manière si juste. C'est-à-dire qu'ici, deux des personnages principaux sont des enfants, mais va être surtout développée au cours du film une ébauche de définition de l'enfance, car elle est multiple et infinie, celle qui ose, voyage, brise les frontières, construit, comprend plus vite, celle qu'on emprisonne et qu'on perd.