27/05/2015

MAGGIE (HENRY HOBSON - 2015)

Profiter du temps qui reste



Avant de revenir de nouveau cet été sous les traits de Terminator, notre bon vieux Schwarzy fait une légère escale dans le milieu du cinéma indépendant américain et dans un registre complètement inédit, le drame.


24/05/2015

LE CINÉMA FRANÇAIS N'EST PAS (TOTALEMENT) MORT

             Nouvelle venue dans l'équipe du DWARF, M.W-N partage en ce jour du seigneur son point de vue concernant cette certaine tendance à casquer un peu trop hâtivement un cinéma "qui forcément déplaît" à l' "élite" se réclamant d'une certaine "cinéphilie". Trop facile selon elle... 

        Il est vrai que le cinéma français est décrié aujourd'hui pour une raison assez sous-jacente, c'est que nous attendons beaucoup de lui. La France, considérée comme la terre-mère de l'histoire du cinéma à l'instar des Américains avec Thomas Edison, se repose sur ses lauriers depuis plusieurs paires d'années selon certains. Il est bien évident que si nous attendons un nouveau Lumière ou un nouveau Méliès, il faut s'accrocher. Pour ainsi dire, vous ne trouverez nulle remarque élitiste de ma part mais bien réaliste, eux sont morts, laissons la place aux vivants.
Comme on dirait dans le jargon courant : "L'espoir fait vivre". Alors laissons supposer que le cinéma français peut être encore un espoir et donc un espace vital. Nous allons donc étayer ce point de vue.



22/05/2015

CANNES 2015

Les Nouvelles Aventures de Charlotte...


Samedi 16 mai - The perfect place : ou le retour des fantômes


Nanni rit (un peu), Matthew cherche son chemin, Amy pleure

         Un long trajet en train durant lequel le paysage peu à peu se modifie, ça y est le ciel devient bleu, ça y est on arrive... Une valise au bord de l'explosion, un pass qui tente de se faire la malle dans les rangées du Palais des festivals.
On retrouve ce monde qui vit sa propre vie pendant plus d'une semaine : un monde où les gens parlent d'image léchée au détour d'un verre en terrasse, où les badauds se baladent dans les rues dans leurs plus beaux atours (enfin, leurs plus beaux,... le critère fashion est subjectif).


18/05/2015

CRITIQUE : MAD MAX - FURY ROAD (George Miller - 2015)

JE LE CONNAIS, CA FAIT FORT, C'EST MAX !

       George Miller délaisse enfin ses porcelets et manchots pour retrouver l'univers sale et impitoyable de Mad Max. C'est une véritable pétarade visuelle de 2 heures qu'il nous balance en pleine gueule. Cependant, ce Fury Road ne dépassera jamais le statut culte du deuxième opus, et n'est en point le chef d’œuvre post-apo escompté. Explication.


12/05/2015

CRITIQUE : SHAUN LE MOUTON (Shaun The Sheep – Mark Burton et Richard Starzack – 2015)

Adapté de la série de Nick Park, créateur de "Wallace et Gromit", "Les Pirates ! Bons à riens, Mauvais en tout", "Chicken Run"…


Quel exercice difficile cette fois-ci que de proposer à nos chers internautes une critique d'un film comme Shaun Le Mouton. J'essaye toujours d'écrire une critique plutôt courte, teintée d'humour et d'humeurs afin qu'elle puisse délicatement et délicieusement faire germer en vous l'envie d'avoir envie de voir ou de ne pas voir le film présentement et précédemment cité (dites cette phrase sans respirer une seule fois).

Quelles idées pertinentes, quels arguments tangibles vais-je pouvoir utiliser, quel axe prendre (chocolat ou menthe océan), pour exprimer à la fois ma profonde et sincère admiration pour le studio Aardman, et à la fois ma frustration devant l'œuvre ici exposée dans toute sa splendeur ?


05/05/2015

UN PEU D'AMOUR...

  Voilà bien des mois que je n'avais pas édité un éditorial en ce saint lieu de la liberté cinéphagique débridée. Et c'est avec grand plaisir que je me tourne à nouveau vers vous, mes chers internautes ; bien tardivement d'ailleurs, je le regrette. Mais comme le dit si bien le vieil adage : « mieux vaux tard que deux tu l'auras ». 
Alors, je sors de mon silence et je me sens prêt à reprendre en main la plume ou plutôt le tapotage frénétique des touches de clavier. Et comme je n'ai vraiment, mais alors vraiment, aucune envie de perdre mon temps à tirer sur l'ambulance Marvel Studios/Disney/Nyarlathotep, alors je vous adresse quelques petites nouvelles de « Nous », le collectif du Buddhist Dwarf. En ces temps douloureux où la moindre bouse tent-pole estampillé « fun » fait des millions de dollars de recettes sans avoir à craindre la moindre concurrence, ça nous fait comme une belle petite bouffée de fraîcheur printanière... 

04/05/2015

CRITIQUE : LES OPTIMISTES (Optimistene - Gunhild Westhagen Magnor - 2014)

Pourquoi je vais au cinéma ?


Et encore mieux, qu’est-ce qui me pousse à aller voir un film plutôt qu’un autre ? Parfois c’est de la curiosité, de l’ennui, de la fan-attitude… Et parfois, c’est juste parce qu’un bande annonce captée au dernier festival de cinéma de Valenciennes, vous donne furieusement envie de voir des grands-mères jouer au Volley Ball ! Non, non, et sérieusement, ce n’est pas de la curiosité gérontophile mal placée. Regardez la bande annonce pour vous en convaincre :



03/05/2015

CRITIQUE : EN ROUTE ! (Home - Tim Johnson - 2015)

Ou je lève mes mains en l’air comme si j’en avais rien à faire… du tout !




        Bon, commençons par le début. Au départ, il y a une bande annonce de ce film diffusée sur les internets et au cinoche vers décembre 2014 avec la voix française de Jim Parsons dans Big Bang Theory. Puis, 2 mois plus tard, les voix changent et nous avons Alex Lutz (de Liliane et compagnie dans Le Petit Journal). Bon, déjà, a priori, les producteurs ou diffuseurs français ne sont pas très sûrs d’eux…

         Car En Route, c’est réalisé par Tim Johnson (Fourmiz, Nos voisins les hommes…) ; c’est par les producteurs de Dragon et Les Croods ; c’est doublé par Jim Parsons et Rihanna, bref, c’est bien vendu, au départ…

        Et puis…